Miguel Díaz-Canel célèbre le 60e anniversaire de la création du ministère cubain des Affaires étrangères

Édité par Francisco Rodríguez Aranega
2019-12-24 08:35:26

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La Havane, 24 déc. (RHC).- Le président cubain, Miguel Díaz-Canel, a célébré ce lundi, à La Havane,  le 60e anniversaire de la création du ministère des Affaires étrangères avec les travailleurs de cette institution.

«Le ministère des Affaires étrangères a ouvert les bras aux nouveaux diplomates du peuple qu’ils représentaient avec fierté. On a dit à maintes reprises que cette institution n’a pas été fondée par des diplomates de formation… ces hommes et femmes, très jeunes pour la plupart, avaient le meilleur des diplômes : celui de révolutionnaires, patriotes, martianos (suivant les idées de Martí et fidélistes ».

Miguel Díaz-Canel a tenu ces propos au cours de la cérémonie qui a marqué les 60 ans du ministère des Affaires étrangères en présence de José Ramón Machado Ventura, second secrétaire du Parti Communiste, d’Esteban Lazo, président de l’Assemblée Nationale et de Bruno Rodríguez, chef de la diplomatie cubaine ainsi que de plusieurs autres membres du Conseil des ministres.

Le président cubain a qualifié le MINREX (ministère cubain des Affaires étrangères)  de première tranchée de la Révolution cubaine à l’étranger, une institution qui a joué son rôle d’une manière exemplaire.

Il a assuré que la diplomatie cubaine a pour principal acteur le peuple et que c’est un reflet des principes de la Révolution. «Au cœur de cette institution il y a les idées du Héros National de Cuba, José Martí, du Commandant en Chef, Fidel Castro et de l’inoubliable chancelier de la dignité, Raúl Roa, le qui a occupé le poste de ministre des Affaires étrangères depuis 1959 jusqu’à 1976.

Il a d’autre part cité le premier secrétaire du Parti, Raúl Castro qui dans son discours pour le 70e anniversaire des Nations Unies a signalé : «La communauté internationale pourra compter toujours sur la voix sincère de Cuba face à l’injustice, les inégalités, le sous-développement, la discrimination et la manipulation et pour l’établissement d’un ordre international plus juste et équitable, mettant au centre réellement l’être humain, sa dignité et son bien-être».

 


 

 

 

 

 

 

 



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