Le capitalisme fournit le superflu et le socialisme le nécessaire

Édité par Francisco Rodríguez Aranega
2020-04-07 13:10:59

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La Havane, 7 avril, (RHC).- Le Parti communiste italien a envoyé un message au Premier secrétaire du Comité central du Parti, le général d'armée Raul Castro Ruz, et au président de la République, Miguel Diaz-Canel, en remerciement de l'aide apportée par une brigade de médecins cubains à la région italienne de Lombardie, la plus durement touchée dans ce pays par la propagation du nouveau coronavirus.

La lettre fait l'éloge de la précieuse coopération cubaine, qui est venue prêter main forte au système de santé publique italien dans un moment de grave urgence nationale.

« Après des années de coupes dans les dépenses de santé publique, notre système de santé est aujourd'hui en grande difficulté, malgré l'altruisme et le travail acharné des médecins et du personnel de santé, qui luttent également aujourd'hui dans les tranchées contre le coronavirus. »

Envoyée « au nom du Comité central et de tout le Parti (communiste d'Italie) », la lettre est profondément reconnaissante à « une petite île étranglée depuis de nombreuses années par le blocus économique total de la plus grande puissance du monde. Une des nations qui donne une grande leçon de solidarité et d'humanité. Vos médecins ont soigné des malades dans 64 pays du monde entier. Grâce aux enseignements du Commandant Fidel, ils témoignent de la valeur et de la supériorité de la société socialiste ».    

Le message demande d’envoyer une étreinte fraternelle aux médecins extraordinaires, au Parti communiste, au peuple cubain et à tous ceux qui ont travaillé pour la préservation de la société et du pays socialiste, contre toutes les attaques. « Depuis 60 ans, ils constituent un exemple et une ressource inestimable pour tous les peuples du monde. »

Dans les dernières lignes du message, ils se déclarent encore plus unis dans la construction d'un monde de paix et d'égalité sociale, et soulignent qu'aujourd'hui, grâce aux Cubains, « en Italie aussi, on a compris que le capitalisme fournit le superflu, alors que le socialisme fournit le nécessaire».

 

Avec Granma international



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