Cuba rejette les outrages contre son drapeau à Miami

Édité par Francisco Rodríguez Aranega
2021-02-10 06:50:40

Pinterest
Telegram
Linkedin
WhatsApp

Image: Prensa Latina

La Havane, 10 février (RHC) Des médias et des artistes cubains ont rejeté ce mardi les outrages commis contre le drapeau national lors d'une caravane à Miami, en faveur des mesures coercitives des Etats-Unis contre notre pays.

L’image du drapeau national traîné par l'une des voitures participant à cette caravane à Miami, a provoqué l'indignation de bon nombre de personnes dans les réseaux sociaux.

Teresa Melo, femme des lettres cubaines, a publié dans son profil Facebook un texte reproduit mardi par plusieurs sites numériques, dans lequel elle affirme qu'être Cubain n'est pas quelque chose de marqué par le lieu de naissance, mais implique le choix de sa défense et de ses symboles vivants.

Elle a souligné le contraste entre ceux qui traînent le drapeau et ceux qui le hissent chaque jour dans leur lutte contre la pandémie de Covid-19 à l'intérieur et à l'extérieur de Cuba ; ou les différences avec ceux qui le hissent dans d'autres parties du monde «pour dire merci pour les vies sauvées et protégées».

Elle a souligné que des sites emblématiques en Italie, au Canada et en Colombie étaient illuminés par ses couleurs, et que pendant qu'à Miami avait lieu une caravane de la haine, d'autres bonnes gens se mobilisaient en faveur de notre pays, et hissaient le drapeau cubain avec fierté et respect.

L'écrivain souligne que parmi ceux qui ont dénoncé l'infamie contre l'enseigne nationale, il n'y a aucun de ceux qui «coordonnent de nouvelles provocations, sièges et spectacles», soi-disant pour le bien des Cubains.

Le musicien Arnaldo Rodríguez s'est dit d'accord avec ce critère: «Si ceux qui prétendent apporter des améliorations à cette nation le font en traînant un symbole patriotique, alors ils ne peuvent pas compter sur moi» a-t-il publié sur Facebook.

Je préfère ceux qui «hissent le drapeau avec stoïcisme et le brandissent comme une bannière d'amour patriotique, de solidarité et de fierté nationale», a-t-il ajouté.

Granma, notre principal journal, a également publié, dans sa version imprimée et en ligne, les opinions de ses journalistes condamnant les événements et mettant en avant l'histoire et les valeurs représentées par le symbole national.



Commentaires


Laissez un commentaire
Tous les champs sont requis
Votre commentaire ne sera pas publié
captcha challenge
up