Le Venezuela dénonce à l’ONU l’impact des sanctions sur les droits de l’homme

Édité par Reynaldo Henquen
2022-01-26 12:48:42

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Caracas, 26 janvier (RHC) Le Venezuela a dénoncé  devant l’Organisation des Nations Unies (ONU) l’impact négatif des mesures coercitives des Etats-Unis sur la pleine jouissance des droits humains du peuple vénézuélien.

Lors de la présentation par vidéoconférence du rapport de pays lors de l’Examen Périodique Universel du Conseil des Droits de l’Homme de l’ONU, la vice-présidente Delcy Rodriguez a souligné que dans le contexte d’un blocus et d’une guerre économique, le pouvoir exécutif bolivarien a déployé des efforts en faveur du bien-être de la population.

À cet égard, la vice-présidente a mentionné le système de santé gratuit et universel qui a permis de maîtriser la pandémie de Covid-19 et d’atteindre des taux élevés de vaccination contre la maladie.

Rodriguez a en outre souligné les programmes de protection sociale mis en œuvre dans les domaines du logement, de l’éducation et des services publics, ainsi que la consolidation du système judiciaire.

Elle a également exhorté l’organisation internationale à élever la voix pour prendre des mesures contre les sanctions économiques imposées par les États-Unis et d’autres pays du monde qui affectent le Venezuela et d’autres nations souveraines.

La voix de tous doit lever contre les mesures coercitives unilatérales qui se profilent comme "arme de destruction massive des droits de l’homme, a souligné la vice-présidente lors de la quarantième session du Conseil des droits de l’homme de l’ONU.

À cet égard, la vice-présidente du Venezuela a rejeté la position des États-Unis selon laquelle il faut violer le droit des peuples à l’autodétermination, à l’indépendance et à la souveraineté en prenant des mesures punitives.

De même, la vice-présidente a jugé contradictoire la coexistence d’agresseurs et de victimes de politiques hégémoniques de domination au sein de l’instance internationale chargée de veiller à la situation des droits de l’homme.

À cet égard, Rodriguez a appelé à éviter l’instrumentalisation politique du système des Nations Unies comme mécanisme d’ingérence et d’intervention dans les affaires intérieures des pays.

 

Source Prensa Latina



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