Aujourd’hui, Cuba a présenté les résultats de ses dernières études sur la gestion environnementale, notamment la protection et l’atténuation des effets du changement climatique, lors d’une réunion en amont de la COP 30, qui se tiendra à Belén, au Brésil.
Réunis à Quinta de los Molinos, à Belén, au Brésil, des représentants de ministères, d’agences des Nations Unies, de la société civile et d’autres acteurs ont organisé la pré-Conférence des Parties sur les changements climatiques : « Cuba en route vers la COP 30 : Allier engagement et action ».
Dans son discours d’ouverture, le ministre cubain des Sciences, de la Technologie et de l’Environnement, Armando Rodríguez, a souligné qu’une action climatique ambitieuse est la seule voie vers la préservation de la vie sur la planète.
Les phénomènes météorologiques extrêmes, l’élévation du niveau de la mer et la perte de biodiversité renforcent notre détermination à agir immédiatement et ensemble, a-t-il conclu.
Il a également appelé au renforcement des mécanismes permettant la création d’instruments de financement flexibles et accessibles, qui autonomisent les communautés les plus vulnérables et stimulent l’action mondiale.
Il a également appelé à accélérer la transition énergétique juste et coopérative, garante du droit légitime de tous les peuples au développement durable.
Le vaste programme académique de l’événement comprenait plusieurs tables rondes, portant notamment sur le changement climatique à Cuba, la science, le littoral et la coopération internationale.
Les invités ont pu se familiariser avec l’inventaire national des gaz à effet de serre, les services météorologiques pour la prise de décision et la communication sociale.
Ce programme a été complété par des études sur la température de la mer et son impact sur les récifs coralliens, ainsi que par une table ronde sur le développement à faibles émissions, l’atténuation et les marchés du carbone.
