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Le Front étudiant condamne le blocus américain contre Cuba au Guatemala

par Reynaldo Henquen

Guatemala, 22 septembre (RHC). Le Front étudiant révolutionnaire Robin García (FERG) a exprimé son rejet profond et ferme de la politique génocidaire du blocus américain contre Cuba dans un communiqué publié aujourd’hui.

L’organisation, composée de militants engagés dans la lutte contre toute forme d’oppression, a estimé que cette mesure américaine avait atteint son paroxysme le plus méprisable, le plus sauvage et le plus inhumain avec l’inscription unilatérale de la nation caribéenne sur la liste des « États soutenant le terrorisme ».

Elle a rappelé que la stratégie ratée du gouvernement américain consiste à terroriser la société cubaine en des temps très difficiles, comme ceux que nous traversons actuellement, causés par ce même blocus et les mêmes sanctions imposées.

Ces mêmes actions, a indiqué le mouvement dans un communiqué adressé à cette agence, sont condamnées quasi unanimement par les Nations Unies, année après année.

Ils cherchent à fomenter une insurrection violente, incapables d’accepter l’existence et le succès d’un projet socialiste à seulement 145 kilomètres de leurs frontières, a-t-il expliqué.

Il a reconnu que la condamnation seule ne suffit pas, aussi forte soit-elle, et a donc proposé tous les efforts actifs pour condamner ces mesures de l’impérialisme américain.

Il a insisté, en particulier, sur la défense et la construction de la Révolution cubaine, et a invité « les organisations et les secteurs de la société guatémaltèque à soutenir la condamnation et le peuple cubain dans la mesure de nos possibilités ».

Ferg a commencé par souligner la dignité du peuple cubain, son intégrité et sa constance dans cette lutte qui dure depuis 66 ans contre l’impérialisme américain.

Un fait qui non seulement frappe, a-t-il déclaré, mais qui suscite également l’admiration et l’étude, car il constitue une leçon pour le combat que ce peuple mène également contre le même ennemi depuis plus de 70 ans.

Il a également évoqué avec une profonde gratitude le soutien apporté par Cuba à ses camarades, les aidant en matière de formation scolaire, d’asile politique, de soutien médical, « avec une amitié chaleureuse et de tant d’autres manières qu’il est difficile d’énumérer ».

Il a également évoqué avec un profond amour fraternel la lutte menée ensemble « depuis le séjour temporaire au Mexique de Fidel et Raúl Castro, Che Guevara et compagnie ».

Il a évoqué l’amitié que Julio Roberto Cáceres, « El Patojo », a nouée avec les révolutionnaires qui embarquèrent sur le Granma pour entrer dans l’histoire en 1956.

Cette lutte, côte à côte, ne s’est pas arrêtée là, mais a nourri, par un échange fructueux, l’activisme d’un grand nombre de camarades, a-t-il souligné.

Ainsi, a-t-il souligné, les révolutions guatémaltèque et cubaine, depuis ce moment jusqu’à aujourd’hui, font de Cuba et du Guatemala un seul peuple.

 

Source Prensa Latina

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