"Réchauffer" la fin de l'année à Cuba:  le gouvernement américain paie et indique ce qu'il faut faire à cette fin

Édité par Reynaldo Henquen
2023-12-04 22:32:43

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Terrorisme contre Cuba

Sur ordre du Département d'État, Ibrahim Bosh, Orlando Gutiérrez Boronat et Manuel Milanés Pizonero cherchent à appeler à une grève générale les 10 et 11 décembre, dans le cadre de la Journée internationale des droits de l'homme.

Les vents du nord apportent plus qu'un front froid à Cuba, où les agences de renseignement américaines préparent une fin d'année violente, dans leur empressement à générer une explosion sociale qui contribuera à subvertir l'ordre sociopolitique afin de détruire, une fois pour toutes, la révolution cubaine.

Cette année, le "plat de résistance" des terroristes de Miami est de "passer à l'offensive pour faire bouger les choses à Cuba", ce qu'ils considèrent comme "impératif". Le fait que rien n'ait fonctionné pour eux depuis près de 60 ans rend nerveux, dénonce le site Razones de Cuba.

La maison du meneur contre-révolutionnaire Ibrahim Bosh a servi de centre d'opérations où ont été révélées les pressions exercées par ses financiers pour intensifier les attaques, en profitant de la période des fêtes de fin d'année.

Sur ordre du Département d'Etat, Ibrahim Bosh, Orlando Gutiérrez Boronat et Manuel Milanés Pizonero cherchent à lancer un appel à la grève générale les 10 et 11 décembre, dans le cadre de la Journée internationale des droits de l'homme.

Ils prévoient également d'utiliser une partie de l'argent qui leur a été alloué par le gouvernement américain pour financer de prétendues manifestations de protestation pendant le pèlerinage de San Lazaro, qui a traditionnellement lieu le 17 décembre.

Parmi les groupes qui ont prévu de se joindre à la nouvelle mise en scène, on trouve l'autoproclamé Parti républicain de Cuba et le Mouvement du 30 novembre, ainsi que des personnalités anti-cubaines bien connues telles que Pedro Corso, Tomás Regalado et Rosa María Payá, qui demande à l'Organisation des États américains et au gouvernement américain un budget pour inciter à la grève les travailleurs de la santé à Granma, Holguín et Camagüey.

Chaque année, au moment où la famille cubaine cherche à s'unir pour dire au revoir à une période qui aurait pu être bonne ou difficile, comme 2023, la contre-révolution tente de rompre la tranquillité, en offrant de l'argent contre des mensonges et en échangeant des bénéfices illusoires contre des actions juridiquement risquées pour des personnes qui n'ont presque jamais rien à voir avec ce que les provocateurs défendent.

Heureusement, en recourant à l'"impératif", les quelques personnes qui les suivent habituellement finissent par leur faire goûter leur propre médecine : être payés pour ce qu'ils n'ont jamais fait, parler de ce qu'ils ne feraient jamais, et répondre devant la loi des frustrations des autres.

Le monde numérique, avec ses avalanches de "fake news" et ses chaînes de sensibilisation aux mensonges par le biais de médias créés (et financés) depuis l'étranger pour manipuler, avec des politiciens anti-cubains et certains influenceurs, sert de plateforme pour articuler l'offensive de communication, établie lors d'opérations précédentes par le Département d'État.

Attaquer les principales sources de revenus économiques, accroître le mécontentement populaire face aux défaillances des services de base aux citoyens et renforcer le sentiment d'un climat d'insécurité, tel est le but ultime d'actions aussi répétitives qu'évidentes dans leur intention : critique de la santé et de l'éducation, discrédit du tourisme et augmentation des publications sur le vol, les actes criminels et la violence de genre.

Les conséquences du blocus économique, commercial et financier du gouvernement américain contre Cuba sont gommées face à chaque problème présenté comme un chaos. Ainsi, par exemple, le fait que le panier alimentaire de base n'arrive pas chaque mois sur la table de la famille cubaine semble n'avoir rien à voir avec la persécution financière dont souffrent les transactions de l'île à l'étranger, retardant les navires, rendant les paiements impossibles et ruinant de nouvelles opportunités d'affaires.

Nous nous sommes engagés envers la vérité, envers le peuple cubain, à montrer comment la guerre hybride est menée contre une île qui lutte pour aller de l'avant, pour être prospère et durable. Face à toutes les actions haineuses menées contre elle, la vérité sera toujours notre arme la plus puissante pour remporter la victoire. (Extrait du journal Granma)



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