Maria Sharapova, un autre icône du sport en chute libre

Édité par Lisandra Marrero
2016-03-09 14:02:04

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La Havane, 9 mars (RHC/PL).- Maria Sharapova, un jour numéro un du tennis mondial, a été positive à un test anti-dopage.

Cette nouvelle a porté un rude coup au tennis mondial accablé de scandales de paris et de matchs truqués.

La grande joueuse russe de tennis qui détient 35 titres, dont cinq tournois Grand Slams, a consommé la substance meldonium pendant la tenue, au mois de janvier, de l’Open d’Australie où elle est tombée en quarts de finales. Maria Sharapova pourrait faire l’objet d’une sanction de quatre ans. Mais comme elle a reconnu sa faute, la sanction pourrait se réduire à deux ans de suspension.

Le meldonium qui agit sur le métabolisme énergétique et qui améliore la capacité de résistance du corps humain, figure sur la liste des substances interdites depuis le 1er janvier 2015.

Maria Sharapova a affirmé qu’elle n’a jamais lu la lettre de l’agence mondiale antidopage sur les changements normatifs qu’elle a admis recevoir. «Une grosse erreur» a-t-elle relevé avant de reconnaître qu’elle prend le meldonium depuis 10 ans parce qu’il n’était pas interdit.



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