Aujourd’hui nouvelle journée contre le blocus des "Ponts d’amour"

Édité par Reynaldo Henquen
2021-05-30 09:58:21

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La Havane, 30 mai (RHC) Dans plus de 70 villes de différents pays, la condamnation du blocus imposé par les États-Unis à Cuba s’exprimera ce dimanche à travers diverses initiatives, dans le cadre de la Troisième Caravane mondiale de solidarité avec la nation caribéenne.

Les dommages accumulés en six décennies par l’imposition de cette politique s’élèvent à 144 milliards 413 millions de dollars, et entre avril deux mille 19 et mars deux mille 20, l’action américaine a causé des pertes de l’ordre de 5 milliards 570 millions de dollars, chiffre record pour un an.

Ce samedi, veille de la mobilisation, des centaines de personnes ont réclamé dans une vingtaine de nations la cessation de cette mesure coercitive, tandis que le quotidien mexicain La Jornada a publié une vigoureuse dénonciation auprès de l’exécutif du président américain, Joe Biden, qu’il considère comme le principal responsable d’une politique meurtrière dont la population cubaine est la victime.

Dans le cadre de la campagne européenne UNBLOCK CUBA, les activistes ont participé ce samedi à une caravane de bicyclettes organisée par l’Association d’amitié Berlin-Cuba, qui est partie de l’ambassade de Cuba à la Porte de Brandebourg, tout près du siège diplomatique des États-Unis, et des manifestations ont été organisées à Nuremberg et Düsseldorf.

De nombreux rassemblements, marches, défilés de véhicules et meetings ont eu lieu à Malaga, Almeria, Séville, Las Palmas de Gran Canaria et au Pays basque, alors qu’à Manchester, au Royaume-Uni, et en Irlande, la demande de cessation du siège de Cuba s’élevait également.

Un défilé de voitures s’est déroulé à Auckland, en Nouvelle-Zélande, où l’Association d’amitié Aotearoa-Cuba a travaillé avec enthousiasme aux préparatifs de la journée mondiale contre le blocus génocidaire qui a été renforcé en période de pandémie COVID19 et qui constitue le plus grand obstacle au développement de la nation antillaise.

 

Source Prensa Latina



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