La Fédération syndicale mondiale convoque une conférence de solidarité avec Cuba

Édité par Reynaldo Henquen
2021-07-20 09:53:40

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Athènes, 20 juillet (RHC) La Fédération Syndicale Mondiale -FSM-, et ses organisations affiliées et amies ont convoqué ce lundi une conférence internationale virtuelle en solidarité avec le peuple cubain, face aux attaques déstabilisatrices contre notre pays.

Dans un message diffusé par les réseaux sociaux, l’organisation qui regroupe 105 millions de travailleurs de 133 pays, a également appelé à condamner les provocations impérialistes et le blocus criminel de plus de 60 ans contre la nation cubaine.

Le meeting de solidarité aura lieu jeudi prochain à 17h00, heure locale, via la plateforme Zoom, interdite aux résidents de l’île caribéenne à la suite du siège économique, commercial et financier.

La FSM, ses membres et amis du monde entier ont exprimé dès le début leur soutien et leur solidarité avec les travailleurs cubains, en organisant divers événements solidaires, a indiqué le texte divulgué sur le réseau social Facebook.

Le secrétariat de l’organisation mondiale ouvrière a condamné il y a quelques jours les tentatives déstabilisatrices organisées et financées par les États-Unis pour créer le chaos et justifier une intervention militaire étrangère à Cuba.

Dans un message adressé le 14 juillet dernier à la Centrale des travailleurs de Cuba, la Fédération a exprimé sa solidarité avec le peuple de l’île et a réclamé le respect du droit des Cubains de décider de leur avenir, sans ingérence extérieure.

L’organisation a demandé la levée du blocus et a dénoncé que celui-ci causait de sérieux problèmes à l’économie et à la vie de la nation caribéenne.

Au cours de la dernière semaine, de nombreuses voix de travailleurs du monde entier ont manifesté leur soutien et leur solidarité avec Cuba dans des messages envoyés à la CTC et par des actions de mobilisation dans leurs pays.

Au Pérou, la Fédération des travailleurs de la construction civile a dénoncé les tentatives déstabilisatrices du 11 juillet, promues par les États-Unis et la contre-révolution cubaine établie à Miami, en Floride.

La Confédération des travailleurs des universités des Amériques, pour sa part, a exigé qu’il soit mis fin au 'blocus sanguinaire' imposé par Washington au commerce extérieur de Cuba, notamment dans le contexte de la pandémie.

La Fédération latino-américaine des travailleurs du bâtiment, du bois et des matériaux de construction a également soutenu le peuple cubain et son président, Miguel Diaz Canel, et dénoncé le blocus empêche l’île d’importer des denrées alimentaires, les médicaments, les seringues et les respirateurs pour faire face au COVID-19.

Pour leur part, la Confédération des enseignants américains et la Fédération des syndicats universitaires d’Amérique du Sud ont estimé qu’il était impératif de lever le blocus criminel contre Cuba et de mettre un terme à l’ingérence à laquelle se livrent les États-Unis depuis des décennies.

 (Source : Prensa Latina).

 



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