Le président Raul Castro reçoit ses homologues de Guinée Équatoriale et de Namibie

Édité par Reynaldo Henquen
2014-09-30 13:41:00

Pinterest
Telegram
Linkedin
WhatsApp

La Havane, 30 septembre, (RHC).- Le président cubain, Raul Castro a reçu séparément ses homologues de Guinée Équatoriale, Teodoro Obiang Nguema et Hifikepunye Pohamba, au terme de leur visite officielle dans notre pays.

Raúl et les deux chefs d'état africains ont confirmé leurs intentions de continuer à renforcer les liens bilatéraux. Ils ont analysé le danger de l'expansion du virus de l'Ébola en Afrique de l'Ouest.

Lors de son entretien avec le président namibien, Raul Castro a mis l'accent sur les relations fraternelles entre les deux pays. Tous deux ont confirmé leur intérêt d'élargir ses liens dans divers secteurs.

Le président Hifikepunye Pohamba a qualifiée de positive sa visite à Cuba. Il a rappelé qu'il y a quelques jours, son gouvernement s'est prononcé à l'Assemblée Générale de l'ONU pour la fin du blocus imposé à Cuba depuis un demi siècle par les États-Unis.

Dans des déclarations à la presse, le président namibien s'est référé aux conversations officielles.

«  Nous avons parlé des relations entre nos deux pays. Nous avons aussi abordé la situation internationale. Comme vous savez, je rentre de l'Assemblée Générale où nous avons écouté d'autres orateurs. Dans notre intervention nous nous sommes référés à la nécessité de la levée du blocus de Cuba, nous avons exprimé notre rejet à considérer Cuba comme un pays promoteur du terrorisme.

Concernant les relations bilatérales nous avons parlé de l'assistance mutuelle. Cuba nous aide dans la santé. Nous avons beaucoup de médecins cubains qui sont en train de nous aider. Nous avons décidé aussi que des jeunes de mon pays viennent recevoir une formation à Cuba ».

Pour sa part le président de Guinée Équatoriale, a déclaré à la presse:

« Je crois que ce que la révolution cubaine a récolté à cette date incarne les idéaux de José Martí. Les Cubains sont des internationalistes, ils n'ont pas de frontières, ils sont partout ».



Commentaires


Laissez un commentaire
Tous les champs sont requis
Votre commentaire ne sera pas publié
captcha challenge
up