informationLa loi sur la transparence et l’accès à l’information publique, approuvée par l’Assemblée nationale du pouvoir populaire, est une nouvelle expression de la démocratie dans notre pays et témoigne de l’intérêt d’informer le public sur le travail des institutions, agences et organisations avec la clarté et la véracité nécessaires.
Cela a été démontré lors d’une réunion organisée au siège de l’Assemblée provinciale du pouvoir populaire à Villa Clara avec les membres de la Commission de la mémoire historique de la région. L’objectif était de garantir la sécurité des communications à tous les niveaux et de mieux faire connaître le cadre juridique avant sa publication au Journal officiel de la République.
Débat sur la loi sur la transparence
La réunion était présidée par le Dr Adianez Taboada Zamora, vice-ministre de la Science, de la Technologie et de l’Environnement, qui a souligné l’importance de cette loi, qui sera appliquée pour la première fois à Cuba et qui confirme la volonté politique du gouvernement cubain, depuis le triomphe de la Révolution, de partager toutes les informations avec la population, sans dissimuler aucun élément, sauf ceux qui compromettent la sécurité nationale.
Pour élaborer cette loi, 123 lois internationales présentant des caractéristiques similaires ont été consultées : 33 d’Amérique latine et 28 des Caraïbes. Elle intègre également d’autres textes juridiques récemment adoptés sur l’île, notamment la loi sur les communications sociales et la loi sur la protection des données personnelles.
Débat sur la loi sur la transparence
Ce document, conformément à la Constitution de la République, renforce et renforcera la crédibilité et la confiance du public envers ses institutions et ses fonctionnaires. Ces derniers ont l’obligation d’informer le public sur leur travail, en premier lieu, et de répondre à leurs demandes d’information, en utilisant toujours des informations transparentes, de bonne foi et de manière responsable.
Le plan de communication visant à mieux faire connaître les termes juridiques de la nouvelle loi comprend la formation des administrations et des fonctionnaires, jusqu’au niveau municipal, la recherche de procédures et de canaux fiables et simples garantissant le droit d’accès à l’information, le développement de sites web et d’autres applications utilisant ces données, la recherche de mécanismes pour répondre aux questions et préoccupations du public, et la préparation des responsables à tous les niveaux à la bonne mise en œuvre de ce nouveau document, contribuant ainsi à l’amélioration du cadre institutionnel du pays.
Débat sur la loi sur la transparence
Abordant d’autres détails sur la loi, la Dre Martha Ferriol Marchena, directrice du département de gestion documentaire et des archives du CITMA, a appelé à une étude du texte et à des moyens d’en assimiler l’importance. Elle a souligné qu’il s’agissait d’une étape cruciale franchie par la nation pour garantir le rôle du peuple dans la construction du pays que nous voulons.
De son côté, la Dre María del Carmen Velasco, déléguée du ministère de la Science, de la Technologie et de l’Environnement (CITMA) à Villa Clara, a souligné que le succès de la loi dépendrait de sa compréhension, de l’application d’une information de qualité comme système de travail quotidien par tous les responsables, et de la transparence et de l’accès à l’information, en tant que droit inaliénable des citoyens, devenant un outil essentiel pour préserver la démocratie à Cuba, comme le prévoit notre Constitution.
La réunion était également présidée par Idalsis Fabré Machado, assistante sociale du Bureau provincial du Parti à Villa Clara ; Elvira Corbelle, directrice des Archives nationales ; et des représentants du ministère de la Science, de la Technologie et de l’Environnement à Villa Clara.
(Dalia Reyes, correspondante de Radio Habana Cuba à Villa Clara)