Daniel Ortega condamne les agressions contre Cuba, le Venezuela et le Nicaragua

Édité par Reynaldo Henquen
2021-04-24 18:09:02

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Managua, 24 avril (RHC) Le président du Nicaragua, Daniel Ortega, a dénoncé les agressions des pays développés contre les nations en voie de développement, dont Cuba et le Venezuela.

Lors d’un discours au cours du forum virtuel Retrouvailles avec la Terre Mère, organisé en Bolivie, le Président a critiqué le fait que, bien que le Sommet de Paris ait eu beaucoup de bonne volonté de la part des pays, "les intérêts du capital, de l’industrie militaire ont pesé plus, parce que nous savons que beaucoup plus de ressources sont investies dans les budgets des pays développés, des ressources pour la guerre, pour moderniser encore l’armement atomique, pour envahir des pays qui luttent pour la souveraineté et contre la pauvreté".

Il a également dénoncé le fait que certains pays, au lieu d’aider les pays en développement et de disposer de davantage de ressources pour lutter contre la faim, la pauvreté et les services de base pour la population, les punissent, les torturent et violent les droits de l’homme de peuples entiers comme ils le font contre les peuples de Cuba et du Venezuela.

A cet égard, Ortega a déploré le manque de réflexion dans les hautes sphères des pays développés à l’heure d’aborder les questions environnementales de manière "rationnelle", parce que ce qu’elles provoquent est "Le chaos qui exacerbe la pauvreté, la douleur et la violation des droits de l’homme des peuples qu’ils attaquent par des sanctions et des bombardements".

En outre, il a condamné les explosions de bombes des pays capitalistes sur des territoires en voie de développement, en faisant remarquer qu’il s’agit d’une lutte inégale pour la puissance de ceux qui ne prennent pas au sérieux ce que disent les scientifiques de leur propre pays sur le réchauffement de la planète et la destruction de la planète, et même le considèrent comme des idées fausses.

À cet égard, il a déploré le fait que les pays développés puissent se retirer de l’Accord de Paris quand ils cherchent à en modifier les objectifs. Le pacte a été signé par quelque 190 nations fin 2015 dans la capitale française sous l’égide de l’Organisation des Nations Unies (ONU) dans le but de limiter la hausse de la température mondiale en réduisant les émissions de gaz à effet de serre.

Les autorités de Bolivie, de Cuba, du Venezuela, de Saint-Vincent-et-les Grenadines, de Saint-Kitts-et-Nevis, d’Antigua-et-Barbuda et de la Dominique, entre autres, ont également participé au rendez-vous.

 

(Source/Hispan / TV)



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