Nations Unies : le Contrôleur Général du Venezuela exige la restitution des avoirs

Édité par Reynaldo Henquen
2021-06-07 19:50:24

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Caracas, 8 juin (RHC) Le contrôleur général du Venezuela, Elvis Amoroso, a exigé la restitution des avoirs de la nation devant le Mécanisme d’examen de l’application de la Convention des Nations Unies contre la corruption.

Au cours de sa participation à cette réunion virtuelle, le haut fonctionnaire a expliqué comment le secteur radical et corrompu de l’opposition a volé les actifs à l’étranger d’entreprises telles que CITGO, filiale de la Compagnie des Pétroles du Venezuela (Pdvsa) et les réserves d’or qui se trouvent dans la Banque d’Angleterre.

Par le biais d’une émission télévisée, Amoroso a souligné l’importance de sa participation à cette rencontre, qui a commencé ce lundi et culmine jeudi avec la présence d’autres pays, dont l’Irlande et Cuba, les évaluateurs principaux.

'Nous sommes en plein exercice de l’examen du compte du Venezuela par l’Organisation des Nations Unies, nous sommes présents avec toutes ses institutions pour lutter contre la corruption', a-t-il souligné.

Il a rappelé que dans cette nation sud-américaine, il existe une réglementation juridique contre ces crimes, appliquée dans tous les secteurs.

Le Mécanisme d’examen est un processus intergouvernemental dont l’objectif général est d’aider les États parties à appliquer la Convention des Nations Unies contre la corruption.

Sous sa mise en œuvre, un État est examiné par un autre de la même région et un second de n’importe où dans le monde, choisis par tirage au sort.

Sa mise en œuvre a permis un débat d’idées à l’échelle mondiale, offrant des possibilités d’échange de connaissances aux États parties.

L’objectif est d’aider les pays à lutter contre ces infractions et à appliquer les dispositions de la Convention.

Le produit final comprend généralement des conclusions, des recommandations et des bonnes pratiques identifiées par les experts examinateurs, qui sont examinées et convenues avec l’État partie examiné.

 

Source Prensa Latina



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