Le Président Alberto Fernández a appelé à construire l’Argentine rêvée

Édité par Reynaldo Henquen
2021-08-31 16:18:47

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Buenos Aires, 31 août (RHC) Le président Alberto Fernández a convoqué aujourd’hui son bras politique, le « Front de Tous » à générer une explosion de confiance chez les Argentins en vue des élections, après avoir indiqué qu’il est possible de construire l’Argentine rêvée.

Alors qu’il ne reste que deux semaines avant la fin de la campagne électorale des primaires du 12 septembre, de l’exposition Tecnopolis, le président a souhaité du courage aux pré-candidats de son organisation politique et a souligné que dans le pays il y a clairement deux modèles en conflit, comme l’a dit l’opposition.

Pour la première fois, je suis d’accord avec eux, il y a un pays que nous représentons, qui croit en un État présent, en la démocratie et les institutions, a indiqué le dirigeant.

Mais il y en a un autre qui ne croit pas en la justice sociale, qui croit au  « sauve-qui-peut »  et qui se remplit la bouche en parlant de République, mais qui a créé une table ronde judiciaire pour poursuivre les adversaires, a-t-il dit en référence à l’opposant Ensemble pour le Changement.

En approfondissant tout ce qui a été fait à cette époque depuis qu’ils ont assumé le pouvoir en décembre 2019, trois mois avant l’arrivée du Covid-19, le chef d’état a expliqué qu’ils savaient qu’ils auraient à combler une dette immense, nous avons toujours su que les derniers devaient être les premiers et nous avons agi en conséquence, a-t- dit.

'Nous avons fait face au soin de notre peuple, nous avons mis l’état debout et présent pour le relever de toutes les chutes que le gouvernement précédent avait engendrées', a soutenu le président.

A un autre moment de son discours, Fernández a souligné que 'c’est dommage de penser que tant d’efforts puissent tomber dans un panier percé à cause des chants de sirènes de ceux qui ont maltraité l’éducation, la science et la technologie, ceux qui ont facilité la débâcle financière et détruit le travail'.

Le dirigeant a parlé de certaines choses que l’on dit de lui 'que je suis une marionnette et un autoritaire, je ne sais pas comment les deux se combinent', a-t-il dit après avoir souligné 'qu’il n’est pas venu à la présidence seul'.

Je suis accompagné d’un groupe d’hommes et de femmes qui ont un dénominateur commun : nous croyons à l’état actuel, à l’éducation et à la santé publique, à l’investissement productif, au développement social, a-t-il déclaré.

Fernández a demandé au Front de Tous de sortir avec force dans les rues après avoir souligné qu’ils sont la politique dans son essence même parce que nous savons qu’il est l’instrument pour changer une société.

Il a également souligné qu’il ne cédera pas ou ne trahira pas le peuple qui a voté pour lui comme aucun membre du Front ne le fera et a souligné presque à la fin qu’on ne lui pardonne pas d’avoir promu l’unité et converti Internet, le câble et la téléphonie cellulaire en service public.

 

Source Prensa Latina



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