Lula promet de sauver 33 millions de Brésiliens de la faim

Édité par Francisco Rodríguez Aranega
2022-10-28 09:58:52

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Sous son mandat à la présidence, Lula a sauvé quelque 40 millions de Brésiliens de la pauvreté et mis en place le programme Faim Zéro. Photo des archives de PL.

La Havane, 28 oct. (RHC)- L'ancien président Luiz Inácio Lula da Silva a promis jeudi que s'il remporte les élections de dimanche, il sauvera 33 millions de personnes de la faim et plus de 100 millions de Brésiliens de la pauvreté.

"Les premières mesures de notre gouvernement seront de sauver 33 millions de personnes de la faim et de sauver plus de 100 millions de Brésiliens de la pauvreté. La démocratie ne sera vraie que lorsque toute la population aura accès à une vie digne, sans exclusions", promet Lula dans une Lettre au Brésil de demain.

Le candidat à la présidence du Parti des travailleurs (PT) prévient dans sa lettre que les présidentielles de dimanche ne seront pas un scrutin comme les autres parce que "ce qui est en jeu, c'est le choix entre deux projets complètement différents" pour le géant sud-américain.

Il mentionne que l'un "est le pays de la haine, du mensonge, de l'intolérance, du chômage, des bas salaires, de la faim, des armes et de la mort, de l'insensibilité, du machisme, du racisme, de l'homophobie, de la destruction de l'Amazonie et de l'environnement".

Et il poursuit: "isolement international, stagnation économique, appréciation de la dictature et des tortionnaires. Un Brésil de peur et d'insécurité avec Bolsonaro".

Un autre, ajoute-t-il, "est le pays de l'espoir, du respect, de l'emploi, des salaires décents, de la retraite décente, des droits et des opportunités pour tous, de la vie, de la santé, de l'éducation".

De même, "la préservation de l'environnement, le respect des femmes, de la population noire et de la diversité ; l'intégration souveraine dans le monde, la nourriture dans l'assiette et, surtout, un engagement inébranlable envers la démocratie. Un Brésil d'espoir, un Brésil pour tous".

Favori dans la plupart des sondages à l'approche du scrutin, l'ancien syndicaliste insiste sur le fait que le pays ne peut plus être entre les mains de ceux qui admirent la dictature militaire (1964-1985) et idolâtrent de monstrueux tortionnaires.

"Le Brésil ne peut pas se rendre à des personnes qui remettent en cause notre processus électoral, cherchant à créer les conditions de coups d'État et d'aventures totalitaires", remarque-t-il dans un document similaire à celui publié lors de la campagne de 2002

Source: Prensa Latina



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