Le Groupe de Puebla rejette la participation d’anciens présidents et gouvernants latino-américains au scandale de Pandora Papers

Édité par Reynaldo Henquen
2021-10-07 17:41:48

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Buenos Aires, 7 octobre (RHC) Le Groupe de Puebla s’est prononcé contre les pratiques d’évasion fiscale de quelques présidents et d’anciens chefs d’État de la région, qui ont été dévoilés suite au scandale de Pandora Papers.

Dans un communiqué, l’alliance progressiste s’est prononcée pour l’équité et la transparence fiscales afin de renforcer le rôle social de l’État aux temps actuels de Covid-19.

Le Groupe lutte contre les évasions fiscales, en même temps qu’il propose la pénalisation à cet égard et rejette des pratiques illicites et immorales telles que le recel national ou international des actifs et de revenus financiers, a-t-il souligné se référant à l’opération Pandora Papers. 

Les membres du groupe ont relevé que cet argent et ses charges ‘appartiennent à ceux qui sont exclus de nos sociétés inégales’. 

Le communiqué est signé par plusieurs membres du Groupe, parmi lesquels se trouvent les anciens présidents Dilma Roussef du Brésil, Ernesto Samper de la Colombie et Fernando Lugo du Paraguay entre autres.

Le nouvel épisode révélé par le Consortium international de journalistes d’investigation (ICIJ, de son sigle en anglais), met au grand jour des documents financiers de personnes qui profitent de la  juridiction permissive des États pour dissimuler des avoirs et dans certains cas, pour éviter le paiement d’impôts.

Les documents qui ont été rendus publics impliquent également le président chilien Sebastián Piñera et ses homologues de l’Équateur Guillermo Lasso et Luis Abinader de la République Dominicaine, ainsi que d’autres anciens chefs d’État de la région.

 Source Prensa Latina



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